- Ce sujet contient 11 réponses, 10 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Philippe, le il y a 2 mois et 2 semaines.
Philippe, le -
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Ms25210
- 620
Bonjour à tous,
Je mets ce sujets dans divers et tant pîs si je me trompe (il y aura bien un admin pour le mettre au bon endroit… ohé ohé
).Je ne suis pas du tout adepte de la pêche en NAF/NAV et très peu de la noyée mais ne voulant pas mourrir idiot je me pose la question suivante :
S’il est reconnu qu’il y a une saisonnalité dans le choix primaire de ses mouches sèches, qu’en est-il des noyées et nymphes. Existe-t-il un “calendrier” des numphes ou noyées à utiliser au fil de la faison
Merci d’avance pour vos contributions
Si la pêche est une religion, la pêche à la mouche est le paradis
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Gobele09
- 245
Je ne suis pas le plus calé pour te répondre mais je vais te livrer le peu que j’en ai entendu dire!
Nos chères éphémères vivent jusqu’à deux ou trois ans sous l’eau avant l’émergence et la vie “ephémère” d’insecte ailé!
Donc, partant de là, je ne pense pas qu’on puisse parler de saisonnalité!
Par contre ce qui est sur, c’est que lorsqu’il y a une émergence, ces futurs insectes ailés vont remonter à la surface, stagner un peu dans la pellicule avant de sortir de leur exuvie! A ce stade, ils sont vulnérables et les proies de nos chers poissons!
Donc observer la taille de ce qui sort de l’eau est intéressant pour présenter une nymphe! Jouer sur les teintes claires ou foncées. Mais je pense que le plus important est la façon dont elles prennent la veine et dérivent.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 mois et 2 semaines par
Gobele09.
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sirius01
- 210
En matière de mouches, chaque rivière a ses particularités. La règle est de savoir observer et comprendre. C’est l’avantage d’être un “local” par rapport au pêcheur de passage.
D’autant quand on voit certaines nymphes complètement fantaisistes qui ne ressemblent à rien de ce qui existe dans la nature. Piam pêchait avec 2 ou 3 types de nymphes toute l’année, dont une pheasant tail a sa sauce avant qu’il ne passe aux nymphes moulées.
En ce qui concerne la noyée, il faut comprendre que cette méthode, qui est très ancienne, puisque elle se pratiquait déjà au temps d’ Ælien, et plus proche, au milieu du 19 eme siècle en Angleterre – alors que Frédéric Halford n’avait pas encore mis en place ses théories sur la mouche sèche – était d’usage presque unique parce que on ne savait pas pêcher autrement. Par la suite, fin 19 eme début 20 eme, la sèche s’est développée et les deux méthodes se sont côtoyées. Et cela a perduré par la suite; usage de la noyée quand il n’y avait pas d’activité en surface, et sèche quand ça gobait, voila c’était aussi basique que ça !
Une mouche noyée n’imite rien d’autre qu’une nymphe en déplacement, tout bêtement.
En ce qui concerne les couleurs, il faut faire ses propres essais. Je sais, par exemple, pour avoir pratiqué cette technique en Auvergne et Lozère, que dans les rivières aux eaux brunes que la couleur noire fonctionne très bien.
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Casa
- 6,177
Pour avoir été (et etre toujours) un un leurriste acharné en mer, je ne suis pas étonné quand tu dis eau sombre, noyées noires.
En mer quand il fait nuit, ou de jour, mais en cas de tres faible luminosité (ciel nuageux o et/ou eau turbides), on utilise de préférence des leurres tres sombres. A contrario, en cas de forte luminosité et/ou d’eaux limpides, on utilise de preference des leurres aux couleurs vives.
Et en cas de coup de mer en côte rocheuse, quand on traque le loup (bar) dans le “blanc”, la couleur qui est la plus efficace est la couleur blanche.
Donc, quand je peche au leurre, je regarde les conditions de luminosité, qui dictent mon choix de leurre.
Ce qui est vrai en mer, pourquoi ne le serait-il pas en eau douce?
"Respire, sens la pluie. C'est de l'eau. Dans ta vie tu auras beaucoup de raisons d'être heureuse, et l'une d'elle s'appelle l'eau, une autre le vent, une autre le soleil qui arrive toujours comme une récompense après la pluie."
L. Sepulveda
Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler -
sirius01
- 210
Il semblerait, donc, que cette vieille recette fonctionne même en mer.
On pourrait aussi parler des fameuses mouchette de l’Ain, et la fameuse mouche Tango du père Roussiller si souvent citée dans ses livres par leonce de Boisset. Une noyée a corps orange.
Point de Tango, point de salut sur la basse rivière d’Ain…
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rogas
- 51
Bonjour,
Une des couleurs qui reste visible lorsque la lumInosite baisse ou que l eau est légèrement troublée est entre autre le bleu
En noyée j avais de bons resultats avec du bleu marine. J L Poirrot pratiquait aussi avec la bleue sur les rivières Lozeriennes
Au plaisir
Rogas
Si tu loupes un virage en allant a la peche,c est pas grave,tu en as plein d autres apres.........!
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adrien
- 254
Salut,
Ce sujet m’a fais rappeler un article que j’ai mis un moment a retrouver mais le voilà:
on est dans le thème de la saisonnalité en NAF.
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Fleurinois 69
- 161
Bonjour, Une des couleurs qui reste visible lorsque la lumInosite baisse ou que l eau est légèrement troublée est entre autre le bleu En noyée j avais de bons resultats avec du bleu marine. J L Poirrot pratiquait aussi avec la bleue sur les rivières Lozeriennes Au plaisir Rogas
Tout à fait Rogas
Notamment sur la Truyère !! Il disait : ” si tu n’as pas de bleue , tu feras capo ” !! Thierry -
Fred06
- 252
Sur la question posée, je ne sais pas trop répondre. Ce que je crois savoir, c’est qu’en nymphe lestée, y’a les pheasant tail pour les éphémères, et les cadis pour les sedges.
pêchant à 2 nymphes en général, j’en mets une de chaque. Et s’il y a une émergence de l’un ou de l’autre, je mets celui qui émerge en haut, à la bonne taille, en animant de plus en plus si émergence intense.
voilou.
a l’ouverture, pas de sedges sinon. Les premiers cul verts arrivant mi avril chez moi -
Blajoux
- 474
Je pense qu’il y a quand même une forme de saisonnalité, notamment pour les noyées. Pour la nymphe, c’est moins évident.Ce seront plutôt les tailles/poids qui pourront varier. Cependant, j’ai quelques modèles de nymphes que j’utilise à partir d’une période précise. Je pense particulièrement à la peau de chamois, que je fixe régulièrement à ma pointe à partir de début mai, quand les trichoptères apparaissent vraiment. Et les nymphes “Quill”, style perdigones, aux corps plus colorés(roux,verts, jaune) que j’affectionne dès le mois de juin. Mais une Pheasant tail est mon standard tout au long de la saison…
Pour la noyée, le printemps voit plutôt des mouches sombres et de belle taille(8/10), ternes en coloris sur mes potences, alors que dès les beaux jours, elles perdent u peu en taille (12/14), mes corps s’affinent et prennent des teintes plus chatoyantes, à l’instar des insectes qui dérivent: jaunes clairs ou plus soutenus, roux vif, bordeaux, oranges, rouges. Et puisque le montage en cours concerne les bibios notamment, et même si ces montages sombres peuvent prendre en tous temps, j’aurai plutôt tendance à les réserver pour le mois de mai…
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 mois et 2 semaines par
Blajoux.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 2 mois et 2 semaines par Blajoux.
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Philippe
- 384
Les couleurs basiques noir rouge jaune olive sont celles que j’utilise le plus.en taille 10/12/14 sur montrain de noyées Lié aux insecte du moment eccdyo,MDM .Marron plus spécifique sur March Brown.
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- 384
Les couleurs basiques noir rouge jaune olive sont celles que j’utilise le plus.en taille 10/12/14 sur mon train de noyées Lié aux insecte du moment eccdyo,MDM .Marron plus spécifique sur March Brown.
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