L'univers de la pêche à la mouche
Nouvelles diverses et variées du petit monde de la pêche à la mouche
Dans le calendrier de tout pêcheur à la mouche qui se respecte, il est une date qui revêt un caractère émotionnel tout particulier : la fermeture. Bien sur, passé ce 3ème week end de septembre, les mois à venir ne se résument pas à devoir se terrer en bougonnant devant son étau et sa table de montage.
C’est avec des étoiles plein les yeux que j’écris cette petite news, de retour d’une semaine de pêche en Slovénie, avec mon frangin et mon meilleur pote. C’est la cinquième fois que je m’y rends et le plaisir est sans cesse grandissant. Ceci vient sans doute par le fait que ce petit pays si attachant
Un rendez-vous professionnel à Urrugne en milieu de semaine …cela s’appelle une aubaine en langage halieutique ! Mon client n’a pas eu beaucoup de difficulté pour me convaincre de venir lui rendre visite. Afin d’optimiser le bilan carbone de ce déplacement (hypocrisie quand tu nous tiens…), j’ai subrepticement déposé mon attirail de moucheur dans le coffre
Ce vendredi, malgré une météo bien peu favorable, l’envie de retrouver mon cher pays basque est irrésistible. Mon petit lutin, cet empêcheur de … pêcher en rond, m’a pourtant bien expliqué que les conditions seraient détestables mais qu’importe … Bien sur, ce satané lutin (assisté par vigicrue) ne se trompe jamais. Arrivé à pied d’oeuvre, le constat est
… je me promène dans les champs déserts, les canyons, les bois, mais de préférence prés d’un torrent car depuis l’enfance j’aime leur bruit. L’eau vive est à jamais au temps présent, un état que nous évitons assez douloureusement. Jim Harrison ( James de son vrai prénom ) s’est éteint à l’age de 78
A l’approche de l’hiver, je tiens à délivrer quelques mots pour mes chères rivières du Pays Basque. Ces joyaux, dont je connais les moindres recoins, m’ont apporté d’innombrables moments indescriptibles de bonheur et de passion mais elles ne sont plus maintenant que l’ombre d’elles-même. Deux tempêtes d’une violence inouïe les ont défigurées à 8 mois d’intervalle. Une saison
En espérant que mes rivières de coeur que sont et resteront les Nives du Pays Basque ne m’en tiennent pas rigueur, j’ai pris l’habitude, depuis quelques années, de passer 5 ou 6 week-ends sur les bords du gave d’Oloron lorsque leurs eaux de neige blanchâtres et peu amènes ont fait place à de sublimes
Imaginez un pays grand comme deux départements français qui, malgré sa fascinante beauté et la qualité de son accueil , reste à l’abri du tourisme de masse. —– Un pays couvert sur plus de la moitié de son territoire par des forêts d’une fabuleuse diversité constituant le “cœur vert ” de l’Europe. —– Un pays