- Ce sujet contient 27 réponses, 9 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Philippe, le il y a 7 mois.
Philippe, le -
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Lapoisse
- 1,892
Thymallus ligericus (Persat et al., 2019)
“ Il faut vraiment, pour vivre, n'avoir rien d'autre à faire. ”
René Fallet -
Casa
- 6,633
Super interessant!!!
(bon, ca va être un peu compliqué pour Pierrot
)Sinon, je me disais bien que les photos que tu avais mis de certains de tes ombres montraient des poissons très allongés….
Merci Lapoisse!!!
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
pierrotlepecheur
- 6,617
Super interessant!!! (bon, ca va être un peu compliqué pour Pierrot
) Non, je ne mettrais pas mon smiley « doigt », non je ne mettrais pas mon smiley « doigt »
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean) -
Lapoisse
- 1,892
la photo de l’ombre, c’est Romano
“ Il faut vraiment, pour vivre, n'avoir rien d'autre à faire. ”
René Fallet -
Casa
- 6,633
la photo de l’ombre, c’est Romano
Ces ombres sont presque anguilliformes….
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
Coujou
- 3,085
Un très bon sujet, que je n’ai pas cherché à lire, je ne pompe rien en Anglaid, patois Corrézien me convient plus. 
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Lapoisse
- 1,892
un petit résumé en Français:
Une troisième espèce européenne d’ombre (Actinopterygii, Salmonidae), endémique du bassin de la Loire (France), Thymallus ligericus n. sp.
Description :
Dans cette étude, nous considérons cette lignée comme une nouvelle espèce, Thymallus ligericus n. sp., qui est endémique au bassin de la Loire (France). Cette espèce est caractérisée par un corps plus allongé, la présence d’un museau pointu lui conférant un profil droit ou concave, une bouche plus infère avec une ouverture transverse et une lèvre supérieure plus charnue, généralement plus de 50 à plusieurs centaines de points noirs sur les flancs, une tête plus courte, une hauteur occipitale et orbitale de la tête plus faible et un diamètre horizontal de l’oeil plus petit. La nageoire adipeuse est généralement arrondie.Coloration :
Chez l’adulte, la couleur générale du corps est généralement plus foncée que celle du Rhône ou du Rhin T. thymallus, mais cela peut dépendre du substrat. Ils peuvent prendre un éclat métallique bleu chez les individus les plus sombres. Les côtés sont fortement repérés par généralement plus de 50 et jusqu’à des centaines de points noirs, s’étendant parfois jusqu’à la tête, à l’exception de la section la plus haute de la rivière Allier où la population est moins repérée. Dans certaines populations, les points peuvent être coalescents et former une sorte de courtes lignes horizontales. La grande tache rouge vin sur le côté au-dessus des nageoires pectorales, commune dans de nombreuses populations européennes, n’est souvent pas visible, lorsqu’elle est présente en raison de la couleur de fond sombre du corps. Les nageoires appariées et anales ont une couleur plutôt vert-brun foncé. La nageoire pectorale ne développe pas le motif de coloration inégale habituellement visible dans les plus grands bassins versants de T. thymallus du Rhin et parfois du Rhône. La nageoire caudale est vert-foncé, devenant parfois violet foncé, avec un éclat bleu irisé sur les gros sujets. La grande nageoire dorsale des adultes, surtout chez les mâles, est un peu moins étendue et moins colorée que dans les populations de T. thymallus du Rhône ou du Rhin. Les rayons des nageoires sont en revanche plus légers que la membrane inter-rayons. Le bord externe de la nageoire dorsale est souvent souligné par une fine ligne rose. Vers la partie postérieure de la nageoire dorsale, la ligne de bord prend une couleur brune qui s’étend de plus en plus profondément entre les derniers rayons de la nageoire dorsale. Un motif vérifié de taches gris foncé et brun-rougeâtre alternativement couvre la majeure partie de la surface de la nageoire. Ce motif vérifié est complété sur sa partie externe et postérieure par un alignement de taches de plus en plus claires montrant le même éclat bleu irisé que la nageoire caudale. Pour les grands individus, cette partie de couleur bleue de la nageoire dorsale est visible depuis la berge.Étymologie :
Ligericus est un adjectif latin signifiant « du drainage de la Loire ».Nom vernaculaire :
Ombre de Loire (anglais), Ombre d’Auvergne, Ombre de la Loire (français).Distribution et habitat :
L’ombre de la Loire vit dans les fleuves moyens à grands des contreforts, des canyons et des plateaux de la partie montagneuse du bassin versant de la Loire, c’est-à-dire dans la Haute Vienne, la Haute Loire et le Haut Allier.
Une seule population connue, de la rivière Besbre, semble avoir été menacée d’extinction, mais toutes les populations sont potentiellement menacées par le changement climatique car les sécheresses entraînent des températures excessivement élevées et des vitesses d’eau trop faibles. Jusqu’à présent, les tentatives de stockage semblent échouer régulièrement pour maintenir les populations indigènes locales (Persat et al., 2016), ce qui suggère que les stocks sauvages sont plus compétitifs que les stocks introduits. Cependant, des populations d’ombre de la Loire ont été introduites avec succès ailleurs, comme dans le bassin versant de la Corrèze de la Dordogne, sur la base des stocks élevés à la pisciculture fédérale du Puy-de-Dôme de Besse-en-Chandesse.
“ Il faut vraiment, pour vivre, n'avoir rien d'autre à faire. ”
René Fallet -
Casa
- 6,633
Tu fais des heureux, Lapoisse
Ils se reconnaitrons, ceux qui jactent pas la langue roastbeef
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
Coujou
- 3,085
Tu fais des heureux, Lapoisse
Ils se reconnaitrons, ceux qui jactent pas la langue roastbeef Tu sais ce qu’ils te disent, les ceusses qui ????
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pierrotlepecheur
- 6,617
Suite à un article récent de Philippe, j’ai eu envie d’en savoir plus sur « Thymallus Ligericus », une espèce endémique du bassin de la Loire.
J’ai trouvé cet article très intéressant de Philippe Boisson.
Pour ceux que ça intéresse :
➤ L’ombre Ligérien, cet inconnu
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean) -
Lapoisse
- 1,892
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Ms25210
- 736
Il faudrait peut-être songer à un éclotron automnal en Auvergne sur un parcours de 2ème catégorie qui héberge des ombres et possède des lieux d’hébergement propices à ce type d’évènement…
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Cette réponse a été modifiée le il y a 8 mois par
Ms25210.
Si la pêche est une religion, la pêche à la mouche est le paradis
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tonton.fly
- 234
Lu à tous,
Alors là oui, je suis preneur .
A+
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Philippe
- 629
J’ai participé à la pêche électrique à la Chapelle/Alagnon pour l’étude étant en gite sur place à l’époque.
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- 629
Je puis également rajouté qu’ii y a une variation génétique pour faire court(c’est plus compliqué que cela on trouve une explication plus scientifique pour les spécialistes dans les diverses études) au niveau du seuil de Gaspard infranchissable sur l’Alagnon
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- 629
Sujet que j’avais abordé en 2020 sur mon blog
https://rivieresdauvergnealamouche.com/2020/06/02/ombres-auvergnats-etude-despeces/
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pierrotlepecheur
- 6,617
Doc. posté ci-dessous de la part de Philippe, qui devrait venir nous le commenter
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)-
- 629
IMPORTANT L’EAU COULE PAR UN GOULET NON VISIBLE AU FOND , FACE AU PECHEUR ET NON DU FOND DE LA PHOTO AU DEVANT..
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DANY50
- 22
Document super intéressant
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Casa
- 6,633
En parlant d’ombre….il y a un un accident sur la Vienne, et 1000 litres de fuel ont été deversés a St Leonard….une honte….
J’avais prévu d’y aller en Octobre…je crois que c’est mort
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Cette réponse a été modifiée le il y a 8 mois par
Casa.
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
Coujou
- 3,085
En parlant d’ombre….il y a un un accident sur la Vienne, et 1000 litres de fuel ont été deversés a St Leonard….une honte….
Exact, je suis passé vers 17 heures en rentrant de Vassivière, pendant l’intervention des pompiers
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pierrotlepecheur
- 6,617
Pour info, nous avions 2 sujets identiques :
– Thymallus Ligericus crée par Lapoisse en 2020
– L’ombre Ligérien crée récemment par « ma pomme »
Du coup, j’ai fusionné les 2 sujets en un seul
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean) -
- 629
La photo représente l’Alagnon au seuil de Gaspard (construit vers 1650) en aval du célèbre NKde la Chapelle sur Alagnon que je vous recommande en Juin. Sur L’Alagnon coule, je devrais dire s’écoule, face au pêcheur et non dans le sens que l’on peut croire. Le franchissement est impossible, il est démontré dans l’étude que les gènes de l’ADN pour faire simple , ne seraient pas les mêmes en aval et amont du seuil (avec un nombre moindre de femelles à une certaine époque en amont)…
CF; S.WEISS particulièrement Jacqueline.GRIMM pour l’Alagnon Université de Graz en Autriche.Ce laboratoire possède une longue expérience en terme d’analyse génétique sur Thymallus
Henri Persat université Lyon Bernard 69 Villeurbanne
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- 629
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NergaL
- 562
Comme Philippe (nous avons décidément des points communs nombreux, pourtant sans nous connaitre
), j’ai participé à certains pêches concernant le génotypage des ligericus, avec les Fd 42 (Lignon de Forez, Ance du nord…), 43 (Loire, Allier), 63…Et il y en aurait à raconter, et des pas dégueulasses : genre certains Aappma du 43 (avec la bénédiction d’administrateurs fédéraux) qui balancent en nombre, des ombres de pisci Rhénans sur la Loire et l’Allier, alors que le Plan de Gestion, ordonne une gestion patrimoniale stricte sur cette espèce…
Quand je me regarde je me désole, quand je me compare, je me console (Talleyrand)
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Peu être l’occasion de bientôt se rencontrer sur l’Allier, la fermeture truite passée
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Cette réponse a été modifiée le il y a 7 mois et 3 semaines par
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NergaL
- 562
oui bien sûr
par contre je ne pêche pas au fil, mais en sèche ou en noyée
Quand je me regarde je me désole, quand je me compare, je me console (Talleyrand)
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En noyée sur l’Allier c’est l’idéal…
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Philippe
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