- Ce sujet contient 7 réponses, 6 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
NergaL, le il y a 3 années et 10 mois.
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Messages
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Mig
- 1,204
Aux vues du temps, après quelques lectures et en attendant que les niveaux baissent, j’ai pensé noyées amont. Pour cela les mouches les plus adaptées sembleraient être les spider north country. Voici donc quelques montages classiques et d’autres un peu moins a cause de la difficulté de se procurer certaines plumes.
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Ce sujet a été modifié le il y a 3 années et 8 mois par
pierrotlepecheur.
Ce qui n'est pas partagé est perdu
(proverbe Sanskcrit) -
Mig
- 1,204
La suite:
Ce qui n'est pas partagé est perdu
(proverbe Sanskcrit) -
Timtim38
- 961
Jolis montages au goût british . Le corps fin est réel un plus sur ces mouches.
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Casa
- 6,633
Que de beaux montages, Mig, un grand BRAVO !!!!!
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
pierrotlepecheur
- 6,617
Magnifique !
J’adore ces noyées avec très peu de hackles
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean) -
Fleurinois 69
- 170
Beaux montages , mais Mig, qu’est ce que tu appelles » poils de garde de lièvre » stp? Thierry -
Mig
- 1,204
Beaux montages , mais Mig, qu’est ce que tu appelles ” poils de garde de lièvre ” stp?
Ce sont les poils débarrassés de leur bourre
Ce qui n'est pas partagé est perdu
(proverbe Sanskcrit) -
NergaL
- 562
La pêche en noyées amont, est souvent pratiquée, dans des départements comme l’Ardèche. D’ailleurs, on l’a nomme tracoule (littéralement à travers les cols, « faute » aux saisonniers, qui passaient de vallées en vallées pour travailler et pratiquait cette technique simple mais oh combien efficace).
Une canne assez souple, un bas de ligne de 3.5 m et deux noyées, de n’importe quelles couleurs, pourvu qu’elles soient noires… sic
la technique, c’est pas de lancer, mais des roulés (on dit « pousser les vaches »… le petit coup de bâton pour faire avancer les bêtes), pour ne pas sécher les mouches, qu’elles restent bien mouillées, parce que légères et jamais plombées.
il faut voir certains « artistes », souvent des vieilles mains, mettre la misère aux jeunes loups et leur triple tungstene, pendues sous la canne
étonnant !
Quand je me regarde je me désole, quand je me compare, je me console (Talleyrand)
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