Du moment que c’est une récidive de l’exploitant, on peut supposer qu’on lui a sûrement imposé une « mise aux normes » de ses installations et qu’il n’y a pas eu de contrôle. Il invoquera le fait que les faibles revenus de son activité ne lui permettent pas d’investir, bénéficiera de la clémence des institutions et syndicats du coin, s’en tirera avec une prune symbolique, recommencera… lorsque ses cuves seront à nouveau pleines, ou menacera d’aller les vider devant la Préfecture, avec le renfort de ses collègues syndiqués.