Je vous livre tels quels les sites sur lesquels j’achète du matos de fly tying. Plus quelques sites de monteurs connus, et sites ou l’on peut trouver des mouches déjà montées. Même si je suis addict au fly tying, il m’arrive d’acheter des mouches toutes faites…nouvelles idées, nouveaux patterns, j’aime bien ensuite les reproduire, parfois….
1 / Au fil de l’eau
Nouvelles diverses et variées du petit monde de la pêche à la mouche
Ma Belle de la Nansa
Eté 2016. Je me suis mis à la pêche à la mouche deux ans auparavant, autant dire que je suis encore novice… et je crois que je le resterai encore longtemps…Mais cela est une autre histoire. J’étais en vacances en famille, avec mes deux enfants et mon épouse, à Bielva, petit village perché de Cantabrie,
La chasse aux trésors
Je vis dans une région, le Maine et Loire, ou, s’il y a beaucoup de plans d’eau et de rivières, elles sont toutes lentes et/ou turbides. Royaume des ragondins et de ses désagréments (leptospirose), des poissons blancs et cyprinidés, silures et autres carnassiers. Poissons encore trop peu taquinés à la mouche, même s’ils présentent un
Champions du monde 2019 de pêche à la mouche !
Un nouveau cocorico à mettre à l’actif de nos pêcheurs à la mouche nationaux. Le 39 ème championnat du monde en Tasmanie s’est en effet achevé, par la victoire de nos couleurs, qui remporte son 9ème titre devant la République Tchèque, et l’Espagne. La composition de notre équipe était la suivante : Manager : Thierry
Dordogne Lotoise – ici, la belle est encore plus belle …
Certains jours, lorsque la pêche sur la Dordogne Corrézienne est maussade et que vous passez votre temps à errer de pont en pont, entre Argentat et Beaulieu à la recherche d’une hypothétique activité de surface, je vous conseille de consacrer une demi-journée à la découverte de la Dordogne Lotoise. C’est le choix que j’ai fait
Dordogne – un plaisir sans cesse renouvelé …
Lorsque le mois de septembre touche à sa fin et que la pêche en première catégorie est fermée, je ressens un fourmillement caractéristique; celui de l’appel de la Dordogne. Bien sur, il m’arrive de m’y rendre “en saison” mais il me semble qu’au printemps et en été, “la belle” ne se livre jamais comme
Joyaux d’Auvergne
Pêcheur à la mouche depuis une quinzaine d’années, je dois bien avouer qu’à l’exception des rivières basques et béarnaises, de la Dordogne et de la Touvre, je ne connaissais pas grand chose de l’immense richesse du réseau halieutique français. Cette année, à la faveur (ou plutôt défaveur) de l’état de santé très préoccupant de mes
Ô Nives Ô désespoir !
Cela fait plusieurs années que je n’ose regarder la vérité en face, sans doute par respect pour ces rivières que j’aime tant. Mais je dois aujourd’hui baisser les bras. Les Nives sont halieutiquement moribondes et j’ai envie de le crier haut et fort. Les quatre jours passés au pays basque avec mon fils ont été









