Joli récit de fermeture, dans lequel transpire la nostalgie que nous ressentons tous au moment de la fermeture.
J’ai fait la mienne sur le Gave du Saison, à Tardets-Sorholus, et j’avoue que je suis resté assis sur la berge une vingtaine de minutes après le coucher du soleil, à me remémorer toutes les belles images de cette nouvelle page qui s’est tournée … soupir
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pierrotlepecheur.
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)