Merci pour ce retour Philippe.
La Dordogne est quasi impêchable depuis le début de la saison, et seuls les locaux, comme ce Guy dont tu nous parles, tirent leur épingle du jeu grâce à une connaissance parfaite de leur rivière. C’est assez logique en soi.
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)