Comme vous le savez peut-être, je suis passionné par la littérature (française) qui se rapporte à la pêche à la mouche. Livré récents, mais aussi et surtout anciens qui, sans vouloir jouer au vieux c…, sont autrement plus qualitatifs que beaucoup de ceux qui sont publiés de nos jours, sans doute par excès de précipitation, société de consommation oblige.
Parmi tous ces livres relativement anciens (disons entre 1920 et 1980), certains traitent de pêcheurs d’exception qui ont largement contribué à donner leurs lettres de noblesse à la pêche à la mouche.
Ceci m’a donné l’idée de démarrer cette nouvelle série d’articles « grands moucheurs français ». Ces articles seront plus ou moins étoffés en fonction des références documentaires que j’ai pu trouver. N’hésitez pas à me signaler tout ce qui vous paraitra intéressant de rajouter dans tel ou tel article.
Le premier que je vous propose aujourd’hui est consacré à Maurice Simonet. J’ai fait ce choix car, bien qu’il fut un des plus grand moucheurs français, il faut reconnaitre qu’il est un peu tombé dans l’oubli, sans doute en raison de l’époque lointaine où il « officiait ».
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A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)