Merci à Jü pour cette fiche de montage (et à Casa pour le taf
)
Une chenille sans doute très efficace !
J’en monte une assez similaire, mais avec de la laine de brebis, dont je récupère des écheveaux accrochés aux clôtures, au pays basque.
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)