- Ce sujet contient 7 réponses, 6 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
pierrotlepecheur, le il y a 5 années et 1 mois.
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Messages
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Lapoisse
- 1,892
Ça y est, j’ai fini ma dernière canne (promis, je n’en fait plus
)
Son nom : Joker
en fibre de verre,
6,6 pieds
pour soie de 3
porte-moulinet façon écailles d’ombre
poignée carbone et ligature transparente avec un liseré noir
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Ce sujet a été modifié le il y a 4 années et 5 mois par pierrotlepecheur.
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Ce sujet a été modifié le il y a 4 années et 4 mois par pierrotlepecheur.
“ Il faut vraiment, pour vivre, n'avoir rien d'autre à faire. ”
René Fallet -
Anonyme
- 307
Bravo..
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Coujou
- 3,085
Alors là,super, et félicitations
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Lanceur59
- 372
Elle est chouette,Lapoisse.
Bonnes sensations pour plus tard.
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pierrotlepecheur
- 6,617
Superbe petit fouet
Tu peux nous faire une photo avec un poids accroché au scion, histoire de voir sa courbure ?
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean) -
Casa
- 6,633
Superbe!!!!!
"Je lui avais alors proposé de me conduire dans le labyrinthe des écueils atlantiques. Il avait hésité. "A la recherche des fées", avais-je ajouté. Il avait accepté."
S. Tesson
Avec les fées -
Lapoisse
- 1,892
“ Il faut vraiment, pour vivre, n'avoir rien d'autre à faire. ”
René Fallet -
pierrotlepecheur
- 6,617
Merci Lapoisse.
Marrant comme la courbure rappelle celle du bambou
A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière. La rivière a creusé son lit au moment du grand déluge, elle recouvre les rochers d'un élan surgi de l'origine des temps. Sur certains des rochers, il y a la trace laissée par les gouttes d'une pluie immémoriale. Sous les rochers, il y a les paroles, parfois les paroles sont l'émanation des rochers eux-mêmes.
Je suis hanté par les eaux (Norman Maclean)
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